Croix no 1
NOTES :
Croix située au 12 chemin du cap Martin à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de bois peinte en noir a des extrémités à motif trèfle peintes en blanc.
Hampe : Niche contenant une statuette du Sacré-Coeur.
HISTORIQUE :
La 1ère croix du rang Cap-Martin remonte à 1926. Dans les années 60, lors de la réfection du chemin, on en profite pour réparer la croix qui a subi l’usure du temps. En 1985, un projet étudiant redonne une beauté à la croix. En 2010, la croix est refaite à nouveau avec la collaboration de plusieurs organismes et des gens du rang.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 2
NOTES :
Croix située au 29 rang Saint-Georges (Qc-138) à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Ce calvaire a été conçu par Augustin Dufour à l’origine. Il a été refait en 1981.
La croix de bois est peinte en noir et les extrémités à motif trèfle sont peintes en blanc.
Le corpus de petite taille est peint en blanc.
La croix est entourée d’un autel sur lequel figurent trois statues : Marie, Marie-Madeleine, l’apôtre Jean.
Sur les photos de 2018, les statues n’y sont plus.
HISTORIQUE :
Une 1ère croix sur le rang Saint-Georges a été érigée dans les années 1940. Cette croix était située près de l’école. Entre les années 1960 et 1970, la croix a disparu, probablement l’oeuvre du temps. En 1981, Augustin Dufour construisit une nouvelle croix. Ce calvaire est entouré d’un autel et 3 statues y sont présentes. En 2010, Mme Lareau, restauratrice de biens culturels au Centre de conservation du Québec, constate que le calvaire est en piteux état. Suite à ses recommandations, les propriétaires des lieux décident de restaurer leur croix de chemin. À l’hiver 2012, la croix est retirée de son emplacement afin de lui refaire une beauté. Finalement, étant donné son état de détérioration avancée et sur l’initiative de Suzanne Dufour, fille d’Augustin Dufour, on décide de refaire une nouvelle croix avec des madriers de cèdre, une base en acier inoxydable et un socle de béton. Plusieurs membres de la famille Dufour ont participé aux travaux. L’autel a également été réparé. Le corpus et les statues ont été restaurés à Saint-Ferréol-les-Neiges par un artiste en réparation de sculptures. Le 30 mai 2013, la nouvelle croix est installée. Le 13 août 2013, le père Fernand Dufour procède à la bénédiction de la croix.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 3
NOTES :
Croix située au 36 rang Saint-Georges (Qc-138) à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de type simple est faite de 2 rangées de bois superposées avec espace entre chacune. Un demi-cylindre en plastique blanc est placé sur le devant de la croix et cache le système d’éclairage.
HISTORIQUE :
Il faut remonter jusqu’à 1990 pour connaître l’histoire de cette croix. Pour des raisons bien personnelles, Jean-Eudes Dufour eut l’idée d’élever une croix tout près de sa résidence. On sait que la route 138 est très achalandée et que la croix sera vue par une foule de visiteurs. À ses débuts, une statue de Marie-Madeleine était placée au pied de la croix. Elle a été déplacée pour retrouver sa place d’origine, soit le calvaire no 2 situé au 29 rang Saint-Georges.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 4
NOTES :
Croix située au 231 rang Saint-Jean-Baptiste à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de bois peinte en noir a des extrémités à décor polygonal peintes en blanc.
HISTORIQUE :
Remonter aux origines de cette croix s’est avéré à peu près impossible. Selon les recherches, on croit qu’elle remonterait à plus de 100 ans et aurait été élevée par la famille Tremblay. Au fil des ans, les nouveaux propriétaires de cette croix l’ont toujours conservée et entretenue. En 2003, le feu a détruit la grange de la famille Tremblay-Girard. La croix située tout près a été préservée mais sérieusement affectée. Madame Tremblay a solidifié la croix, mais le temps a eu raison de celle-ci. Malgré tout, son fils Martial a conservé la croix. En 2012, quelques citoyens de Saint-Urbain, avec l’autorisation de Martial, ont restauré la croix. On a tout conservé de la vieille croix. On a doublé la vieille croix avec du bois traité que l’on a placé derrière la vieille croix. On a appliqué une nouvelle couche de peinture noire et de la peinture blanche aux extrémités.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 5
NOTES :
Calvaire situé au 28 rang Saint-Jean-Baptiste à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de bois traité peinte en noir a des extrémités à motif trèfle.
Hampe : INRI, Christ en béton peint en blanc.
Une clôture de bois peinte en blanc entoure la croix sur 4 faces.
HISTORIQUE :
Les informations relatives à cette croix proviennent de Madame Ghislaine Gauthier Hénault. C’est le père de Madame Gauthier, Théophile, qui a fait ériger cette croix dans les années 40. C’est un menuisier du village, Monsieur Joseph-Émile Fortin, qui l’a fabriquée. La croix était très visitée particulièrement pendant le mois de Marie. On pouvait y voir prier et chanter de 30 à 40 personnes. En 1963, le fils de Théophile, Émilien, en devint le propriétaire. La croix a été restaurée à quelques reprises au fil des ans.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 6
NOTES :
Croix située au 103 rang Saint-Jérome à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de fer forgé peinte en noir a l’intérieur en bois peint en blanc. Le décor du pal est à motif volute.
Hampe : INRI
HISTORIQUE :
C’est vers les années 1963-1964 qu’un groupe de citoyens décident d’ériger une croix en remplacement d’une croix précédente. Il y avait sur le rang Saint-Jérôme un terrain appartenant à la compagnie RCA Victor sur lequel s’élevait une tour qui captait les ondes de télévision pour Saint-Urbain. Lorsque la tour a cessé ses opérations, la municipalité a acheté le terrain. C’est sur celui-ci que la nouvelle croix a été érigée. Au départ, la croix comprenait 33 lumières, symbole des années que le Christ a vécu sur terre. L’achat et le financement de cette croix a coûté entre 600$ et 700$. Le filage pour l’éclairage de la croix, au coût de 325$ a été jugé non sécuritaire par Hydro-Québec qui a refusé de mettre le courant. Un autre système a été installé. Les résidents de la municipalité en ont assumé le coût au moyen de tirage et de bingos. Dans les années 80, on a dû modifier le système d’éclairage car les lumières brûlaient trop fréquemment. On a installé une planche fluorescente à l’intérieur de la croix et un système d’éclairage genre «spot» éclaire maintenant la croix.
Les informations sur les croix de Saint-Urbain sont tirées du document : Les croix de chemin de mon village de Yvette Mailloux.
Croix no 7
NOTES :
Croix située au 24 rang Saint-François (Qc-381) à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de métal est blanche, ses extrémités sont à motif aigu.
Le décor du pal est à motif géométrique.
Croix no 8
NOTES :
Croix située au 141 rang Saint-Jérôme à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de fer sans ornementation est peinte en blanc et ses extrémités sont à motif aigu.
La croix est placée sur une grosse roche sur laquelle on a placé un vieil instrument aratoire.
Croix no 9
NOTES :
Croix située face au 246 Qc-381 à Saint-Urbain dans la Capitale-Nationale.
Cette croix de bois de type simple est sans peinture et ses extrémités sont à motif aigu.
Hampe : INRI.
Une plaque de métal à l’axe sert de renforcement.
Une petite clôture de bois peinte en blanc entoure la croix.