Sainte-Adèle

Croix no 1

Gérald Arbour (2016)

NOTES :

Croix située angle chemin du Mont-Sauvage et du boulevard Sainte-Adèle (Qc-117) à Sainte-Adèle dans les Laurentides.

Cette croix de bois est peinte en blanc, son axe est ornementé et ses extrémités sont à décor polygonal.

Axe : Coeur peint en rouge.

Traverse et hampe : Échelle et lance.

Hampe : Niche contenant une statuette de la Vierge.

Une plaque fixée sur une grosse pierre mentionne que ce lieu est en hommage à Jean-Baptiste Gagnon, pionnier de Saint-Adèle.

Une 1ère croix a été érigée en 1900 sur la terre d’Adrien Tougas. Elle est placée sur le côté Ouest du chemin Mont-Sauvage. En 1922, Jean-Baptiste Gagnon achète la terre. En 1933, son épouse, Marie-Rose Crépeau lui recommande de déplacer la croix. Il en profite pour la refaire et l’érige à l’endroit où elle se trouve actuellement. Pendant plusieurs années, les coûts de l’entretien sont défrayés par  Camille Légaré et effectués par Marcel Pominville. La croix a dû être étayée pour en assurer la solidité. Elle a été repeinte une dernière fois à la fin des années 80. En l’an 2000, suite à une suggestion de Jean-Guy Deslongchamps, la croix est refaite par les Chevaliers de Colomb du Conseil de Sainte-Adèle qui acquièrent le terrain, l’aménagent et s’engagent à l’entretenir.

Croix no 2

Gérald Arbour (2014)

NOTES :

Croix située à l’intersection de la rue Rolland et du chemin des Hauteurs à Sainte-Adèle (secteur Mont-Rolland) dans les Laurentides.

Cette croix de bois chanfreinée est peinte en blanc, son axe est ornementé et ses extrémités sont à motif aigu.

Axe : Coeur et couronne d’épines sur un décor à motif cercle.

Hampe : Coq au sommet, INRI.

Selon des résidents de Mont-Rolland, une croix aurait été érigée dans le cimetière en 1918. Au début des années 60, un calvaire aurait remplacé la croix du cimetière et celle-ci aurait été déménagée à la croisée des chemins sur le terrain de Mme Dorion. En 1994, l’Association du Lac Pilon a organisé une campagne de financement afin restaurer la croix. Le village de Mont-Rolland s’est aussi porté acquéreur du terrain sur lequel est dressé la croix. En 2008, il fallait se rendre à l’évidence. Une restauration n’était plus suffisante. La croix devait être remplacée.

Les commentaires sont fermés.