Croix no 1

«Calvaire Aubin»

NOTES :

Calvaire Aubin situé au 2616 Qc-132 à Saint-Antoine-de-Tilly dans la région de Chaudière-Appalaches.

Croix de bois peinte en noir, édicule en bois recouvert d’un toit de tôle à la canadienne, parallélépipède de forme hexagonale complètement ouvert. Toit surmonté d’une croix qui supporte un coq.

Auteur : Inconnu.

Client : La famille Aubin.

Le corpus est manquant et l’édicule en fort mauvais état est maintenu en place par des sangles.

Hampe : Titulus «Jésus de Nazareth roi des Juifs».

Ce calvaire fait partie des 25 trésors du patrimoine religieux québécois selon Simard, Jean et Milot, Jocelyne / Les Croix de chemin du Québec : inventaire sélectif et trésors. Édité par Les publications du Québec, 1995.

Panneau d’interprétation : » À la mémoire de la famille Aubin de Saint-Nicolas et Saint-Antoine-de-Tilly qui a érigé cette croix avant 1920.

1992 / Jean-Louis Houde, petit-fils de Adélina Aubin »

Ajouts:

Trois ans après ma visite au calvaire, Paul Turcotte s’est rendu sur place afin d’en vérifier l’état. Aucun travail n’a été effectué sur ce trésor du patrimoine. Il est en fort mauvais état et l’édicule est toujours retenu par des sangles.

Juillet 2018 : Abandon total.

Mai 2020 : Toujours à l’abandon.

Référence : Répertoire du patrimoine culturel du Québec

Ce calvaire a été cité bien patrimonial en 1993 par la municipalité.

2021 : On procède au déménagement du calvaire. Il est situé un peu plus à l’Ouest, face au 2658 Qc-132. En date du 13 octobre, la base de béton est coulée et la croix y est fixée. La construction de l’édicule est amorcée et il sera identique à l’original. On procède aussi à la démolition de l’ancien. Il serait souhaitable que les matériaux récupérables puissent être utilisés pour la construction de l’édicule neuf.

21 octobre : Les travaux sont très avancés et le vieil édicule est démoli. L’aménagement ainsi que les travaux de finition seront complétés l’an prochain.

2022 : Absent depuis plusieurs années, le corpus est de retour. Son installation complète la restauration du calvaire.